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Salem retrouve Sam en Suisse. La situation politique de son pays l’a forcé à prendre le chemin de l’exil. Mais la réalité qu’il découvre dans son pays d’accueil est loin d’être simple. Entre les préjugés, les idées fausses, la xénophobie latente et le terrible mal du pays, parviendra-t-il à trouver sa place ?
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Auteur | Jôli |
Salem retrouve Sam en Suisse. La situation politique de son pays l’a forcé à prendre le chemin de l’exil. Mais la réalité qu’il découvre dans son pays d’accueil est loin d’être simple. Entre les préjugés, les idées fausses, la xénophobie latente et le terrible mal du pays, parviendra-t-il à trouver sa place ?
Cette BD vous aidera à mieux comprendre ce que vivent les réfugiés musulmans dans notre pays. Elle vous permettra peut-être de dépasser certaines idées reçues et d’accueillir le migrant avec un cœur ouvert.
Parution : 2017
Dimensions :23 x 30 x 1 cm
Nombre de pages : 40
Enfant de Cottens désormais installé à Cossonay, Joël Bussy, alias Jôli, publie la bande dessinée, «Sam et Salem, migrant». Un second opus autour de ses deux héros qui est le résultat de trois ans de travail.
Autodidacte, c’est après avoir passé 11 ans en Afrique du Nord à travailler dans une ONG qu’il se lance dans sa premièrebande dessinée. «En rentrant, j’avais envie de faire quelque chose pour encourager les gens à se connaître et ne plus avoir peur de l’autre.»
Pousser à la rencontre et détruire les préjugés sur une origine ou une religion sont les leitmotivs de son travail. Et ce sont eux également qui l’ont inspiré pour le second volume des aventures de ses personnages Sam et Salem.
«Cette fois-ci, Salem est en Suisse, car la situation politique de son pays l’a forcé à fuir, explique le bédéiste. Seulement, il se retrouve confronté aux préjugés, aux idées reçues, à la xénophobie et au mal du pays.»
Travaillant à 50% comme animateur avec des requérants d’asile, Joël Bussy ne cache pas s’être inspiré des nombreuses histoires qu’il a vues ou entendues dans le cadre de son emploi, même s’il précise que son récit est fictionnel.
Loin d’être moralisateur, il souhaite avant tout interpeler et faire comprendre ce que vivent les réfugiés dans notre pays.
«J’aime cette idée de faire passer un message au travers de mes dessins et avec une pointe d’humour», sourit celui qui est dessinateur, scénariste, coloriste, diffuseur et éditeur de ses BD.
Touché par son travail, Erich Dürst, directeur de l’établissement vaudois d’accueil des migrants (EVAM), signe la préface.
Journal de Morges 04.06.17
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